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 pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)

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arvandra

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MessageSujet: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeJeu 22 Jan - 14:04

je poste quelques petites choses sur le jdr, et la façon que nous avons de l'envisager, mon groupe et moi :

d'abord une petite pub, qui a été le départ d'une campagne, mes joueurs ont du créer leurs personnages à partir de ça :
Ce 1er juin 1904, ouverture du Club Philadelphe. Quelque soit votre situation, si vous voulez en apprendre plus sur le monde qui nous entoure, sur la société humaine, ou si vous voulez simplement trouver un refuge à notre monde moderne, passez les portes du Club Philadelphe. A l’intérieur vous trouverez toutes les réponses aux questions que vous vous posez. Que vous aimiez l’aventure ou la tranquillité, il n’est nul désir que le Club Philadelphe ne puisse satisfaire. Dans un cadre somptueux et raffiné, vous en apprendrez plus sur vous-même et les autres que partout ailleurs. Ouvert à tous, le Club Philadelphe promet à chacun non seulement un dépaysement complet, mais aussi un changement radical de votre perception du monde. Aventuriers, explorateurs, hommes du monde, tous peuvent venir au Club Philadelphe pour y découvrir des activités qui ne sont proposées nulle part ailleurs. La seule condition ? Passer nos portes ! Venez nombreux ce 1er juin découvrir les raffinements d’un club de légende ! Les mystères de notre monde ne sont qu’à une porte de vous !
P.L. et S.B., fondateurs.

Article publié dans la totalité des journaux du monde le 20 mai 1904 et repris régulièrement avec quelques modifications depuis 5 ans.


puis le pitch de ma campagne actuelle, que j'espère boucler en 3-4 scénarios, et d'innombrables scéances...
Sur la Terre des 7 Voiles, l’ère des Héros va bientôt s’achever…Une nouvelle divinité va apparaître après un éon de luttes et instaurera un règne de lumière ou bien de ténèbres. Il ne reste que 6 prétendants, qui vont bientôt s’affronter, et un seul s’élèvera. Est-ce que ce sera celui que vous servez ?
Les 6 grands royaumes sont :
L’Empire du Lion d’Acier, dont le Sénat, composé des plus puissants guerriers, maîtres d’armes et virtuoses martiaux, est dirigé par Bélisaire le Stratège d’Acier. D’inspiration byzantine, ce royaume sert la lumière et ses armées sont craintes pour leur discipline et leur férocité. De Hiéropolis, la Cité Monolithe, le Stratège dirige ses armées innombrables car seule la valeur au combat permet de s’élever.

Le Royaume Flottant, où règne l’Archimage Kazim Forge-Nuages. Nommé ainsi car ses terres flottent réellement au dessus des eaux, détaché de notre monde. Un Conseil des Sages assiste l’Archimage, où les mages, illusionnistes et guerriers mages sont tenus en très haute estime. Très pieuse, et d’inspiration abbasside, la société respecte avant tout le savoir et la culture, et sa forme aboutie, la magie, qui exalte la lumière en chacun. Depuis les jardins éternels du Nuage Ascendant, l’Archimage surveille les dangers de chacun des mondes qui nous entourent.

Le Royaume de la Lumière Incarnée, ainsi nommée car Chryséus le Lumineux est l’homme le plus proche de l’Elévation. Nimbé d’une aura, il préside à l’Assemblée qui regroupe les plus talentueux mentalistes et guerriers mentalistes du monde. Versé dans les arts de la philosophie, et d’inspiration athénienne, le Royaume est aussi le plus prompt à apporter l’illumination à ses voisins, car ne pas reconnaître la mission du Lumineux est évidemment un pêché. Pellestria, la Cité Sainte, le Pilier de Lumière voit passer en ses murs les créatures les plus diverses, car dit-on, elle offre un passage vers le Paradis.

L’Empire du Lotus, dirigé par le très mystérieux Masque d’Or, doit sa puissance à la connaissance des créatures des 7 Voiles. Sa bureaucratie céleste regroupe les plus grands convocateurs, guerriers convocateurs et paladins du monde. C’est dans ce havre de calme inspiré par la Chine que se trouvent les plus grandes connaissances sur les mondes qui nous entourent. Dans Lo Yan, la Cité de l’Harmonie, se trouve le Palais du Lotus sur un immense lac, gardé par d’innombrables créatures des autres mondes.

Le Royaume du Crâne, est une terre où l’obscurité règne en maître et qui se trouve pour moitié sous le Royaume Flottant dont il fit autrefois partie. C’est Al-Balin Dresseur d’Ames, le propre frère de l’Archimage Kalim, qui le dirige, et il est le plus grand maître en magie noire du monde. Autour de lui, ceux qui pratiquent les arts noirs forment la Cabale de la Nuit Souveraine, et règne sur un peuple quasiment réduit en esclavage. Les sacrifices humains ne sont pas rares en ces terres, et la ville d’Hepnekab est surnommée la Porte des Enfers.

Les Territoires de la Griffe, dépendent du Khan Naodaï, le Dragon Noir, qui a conquis avec ses nomades un immense territoire. Exerçant son autorité sur une mosaïque de peuples, le Dragon Noir recrute à ses côtés les plus grands combattants, qui reçoivent le don de l’Ombre et participent à l’élévation du Khan. Aucune ville n’a jamais reçu le titre de capitale, car le centre du pouvoir se trouve dans la yourte du Dragon Noir qui se déplace constamment. Montés sur des wyrms, les nomades de la Griffe exercent une domination sans pitié sur tous les peuples qui doivent le tribut, et ne rêvent que des trésors immenses que recèlent les autres royaumes.

La Terre des 7 Voiles est ainsi nommée car elle est entourée de 7 Voiles qui cachent les 7 mondes de l'ailleurs : l'Eden, d'où vient toute vie, le Paradis, origine de la Lumière, l'Enfer, origine des Ténèbres, l’Abysse, le royaume où vont les âmes des défunts, les Terres Elémentaires, d'où sont issus les éléments qui composent notre monde, la Féérie, terre des songes et des cauchemars, l'Eidos, le royaumes des idées, et la Cité Primordiale, demeure des dieux. Ces mondes sont en communication avec le notre, mais par leur nature étrangère, ils risquent de le corrompre voire de le détruire, car ce qui est derrière le voile doit rester caché.

Voila pour la présentation des royaumes, maintenant le concept :
Vous choisissez un de ces royaumes, et vous venez d’être initié à la Lumière ou aux Ténèbre. A ce titre, vous devenez des représentants de votre Seigneur, et les actes que vous accomplissez participent à sa puissance. Plus vous répandrez par vos actions la Lumière ou les Ténèbres, et plus votre Seigneur gagnera de puissance, et partant de là, vous aussi. Bien que la distinction bien/mal puisse s’appliquer à la Lumière et aux Ténèbres, ce n’est pas aussi simple. Les seigneurs des Ténèbres ne veulent pas détruire le monde, mais le contrôler, à ce titre, leurs représentants sont tenus de protéger le peuple dont ils sont issus. Ce que vous jouez, en gros, ce sont les héros d’un royaume. Vous tenez vos pouvoirs de votre Seigneur, et donc, seuls les héros possèdent les classes de personnage d’Anima. La progression ne dépend donc que de la volonté de votre seigneur. Il existe à ce titre deux catégories de personnes très importantes dans les royaumes : les Eveilleurs, qui vous éveillent à la Lumière ou à l’Ombre, par l’entremise de rituels, et les Exécuteurs, qui retirent les capacités de la Lumière ou de l’Ombre (en terme techniques toutes les capacités spéciales, y compris surhumain et zen et vos niveaux de classe) et refont de vous de simples humains.
Au début de la partie, vous pouvez avoir n’importe quel âge entre 16 et…70 ans, et n’importe quelle origine sociale ou background. Tout devient secondaire lorsque vous vous éveillez. Dès ce moment, vous devenez un autre, destiné à propager la puissance de votre Seigneur. Tout commence quelques semaines après votre éveil, avec votre Eveilleur, qui a charge d’accompagner les nouveaux héros pendant une année entière afin de savoir s’ils sont dignes de leur fonction, et aussi afin de les former.
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arvandra

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeJeu 22 Jan - 14:06

la suite, le bavkground qui devait aider des joueurs novices à expliquer le jeu de rôle Loup-garou, dernière édition :

Ceci est une histoire vraie :

Ce que nous sommes, ce que nous étions, tout commence à Pangée. Vous avez déjà une idée de ce que peut être Pangée, tout le monde en a une. Vous avez sûrement entendu parler du Jardin d’Eden, c’est ce qui se rapproche le plus de Pangée dans les souvenirs des humains. Vous en avez des échos dans votre plus profond sommeil, quelquefois vous sentez une fragrance, la senteur d’une plante rare ou l’odeur d’une proie, et vous vous en rappelez presque. Les odeurs sont si difficiles à oublier…Mais pourtant vous n’arrivez pas à vous en souvenir, n’est-ce pas ? Personne ne le peut. Seuls les premiers de notre lignée foulèrent les terres de Pangée.
Et ce sont eux qui l’ont détruite…
Vous rappelez-vous ces senteurs ? Le monde était jeune, rempli de promesses. Les esprits passaient avec facilité dans le royaume de la chair, et les humains et les animaux marchaient dans le doux royaume d’ombre, reflet du monde. Pangée n’était pas cette réunion des continents telle que l’imaginent les scientifiques d’aujourd’hui, c’était notre terre, dans sa première forme. Les hommes et les esprits y partageaient une même langue, la première de toutes. Nous ne nous rappelons pas si Pangée était un lieu, une époque ou les deux. Tout ce dont nous nous souvenons c’est de sa grandeur et de sa gloire, et qu’elle a été perdue.
Lorsque Pangée fut en pleine floraison, sa beauté séduit le cœur de la Lune elle-même. Dame Lune, Amahan Iduth, fut profondément touchée par la beauté du monde qui s’étendait sous elle. Elle s’incarna alors sous la forme d’une femme et descendit sur la terre. Elle marcha dans les forêts et nagea dans les océans. Elle était la beauté incarnée, nulle créature ne pouvait rivaliser avec elle, et elle avait de nombreux soupirants. Le plus grand et le plus vaillant était Urfarah…un nom que vous connaissez, n’est-ce pas ? C’est le nom de Père Loup.
Pangée était un monde de beauté, mais pas un monde de paix ou de gentillesse. C’était un monde sauvage, un monde de chasseurs. Le lion chassait l’antilope, les esprits prenaient ce dont ils avaient besoin du monde de la chair. La mort faisait partie de ce monde, les chasseurs étaient ses champions, et le plus grand chasseur de tous était Père Loup. C’était un guerrier, à la fois dans le monde de l’ombre et celui de la terre et du vent. Il parcourait inlassablement les frontières des deux mondes, gardant chacun à sa place. Les esprits pouvaient rentrer dans le monde de chair, mais ni trop loin, ni trop longtemps. Urfarah n’était que trop heureux de chasser un esprit qui outrepassait ses droits. Lorsqu’il était nécessaire, ses crocs et ses griffes repoussaient tout aussi bien les humains et les animaux s’enfonçant trop loin dans le monde de l’ombre. Son cœur brûlait d’une force inextinguible, et une colère, une rage vertueuse le rendait invincible. Mais il était le maître de cette colère. Il était le premier, bien au dessus de nous et à nul autre pareil.
Père Loup aimait déjà Mère Lune lorsqu’elle passait dans les cieux, et fut rempli de joie quand il la rencontra, marchant entre les mondes de la chair et de l’esprit. Et ses sentiments furent partagés. Car Mère Lune trouva Père Loup sage et vaillant, fort et superbe, et elle aussi tomba amoureuse. Ils s’unirent et Mère Lune donna naissance à des enfants à la fois humains et esprits, les premiers loups-garous. Bien qu’elle ait eu forme humaine, Mère Lune donna naissance aux loups-garous sous la forme d’une portée de neuf louveteaux, un signe de leur future destinée.
De Mère Lune, nos ancêtres gagnèrent la faculté de changer de forme, comme elle-même change de forme au cours de son parcours dans le ciel. De Père Loup, ils reçurent les sens, la force et la vitesse, bien au-delà de celle d’un loup normal. De leurs deux parents ils héritèrent une part de puissance spirituelle, car Mère Lune était la Reine du Monde de l’Ombre et Père Loup était le Seigneur des Terres Frontalières.
Après la naissance, Mère Lune retourna dans les cieux et ce fut Père Loup qui éleva la Première Meute. Il apprit aux premiers Uratha les voies de l’homme et de l’animal, de la chair et de l’esprit. Il leur montra les chemins menant du monde de l’Ombre à celui de la chair, à travers forêts, montagnes, déserts, jusqu’aux frêles demeures des tribus humaines. Père Loup forma la Première Meute pour l’aider dans son devoir de gardien des Terres Frontalières. Ils partagèrent sa tache, l’aidant à maintenir l’ordre à la fois dans le monde des esprits et celui de la chair. Ils étaient les bergers des humains, des animaux et des esprits tout à la fois. Ils régulaient la population, abattant ceux dont le troupeau devenait trop nombreux, premiers parmi les prédateurs.
Bien sûr, certains, chez les humains et chez les esprits, ne prirent pas bien ce traitement. Certains se rebellèrent, ripostant, et grâce à leur nombre, leur force, leur magie, n’étaient pas facile à tuer. Père Loup et sa meute bannirent les pires dans les profondeurs les plus lointaines de l’Ombre, non seulement de puissants esprits mais aussi leurs servants et les tribus humains qui les adoraient. D’autres, comme le Seigneur de la Pestilence, ou la Tisseuse, s’opposèrent à Père Loup et sa meute et s’enfuirent quand ils virent qu’ils ne pouvaient gagner.
Nous étions les seigneurs du printemps du monde. Notre force, notre capacité à changer de forme nous permettait de dominer tous les êtres vivants, humains ou esprits. Même les plus puissants béhémoths ou les plus féroces prédateurs de ce temps ne pouvaient vaincre une meute de loups-garous. C’était des temps sombres pour l’humanité, mais pour nous ce fut un âge d’or et de gloire, écrit avec le sang de nos proies.
Et comme chaque âge d’or, il disparut.
Vous voyez, tout commença avec Père Loup. Bien avant notre naissance, avant que l’humanité ne croisse et lorsque la plupart des esprits étaient jeunes et faibles, Père Loup suffisait à garder en ordre les deux mondes. Nul esprit ne restait assez longtemps dans le monde de chair pour prendre suffisamment de puissance. La puissance de Père Loup, certes, diminua lorsqu’il s’unit à Mère Lune et, avant elle, avec d’autres esprits, mais il était toujours rapide et puissant. Mais cela ne dura pas…
Oh, cela prit bien des années, bien plus que ce que l’on peut en compter, mais, petit à petit, Père Loup commença à perdre sa rapidité, sa force. Ses crocs se firent moins tranchants, sa sagesse moins profonde. Des esprits commencèrent à échapper à son regard, s’installant dans le monde de chair, et y fondant des royaumes. Quand il attrapait ces pseudo-dieux, boursouflés de haine, il lui fallait plus de temps pour les tuer. Certains mêmes s’échappaient, diminués, bien sûr, par le combat, mais libres quand même. Petit à petit, Pangée devenait un paradis pour les esprits et ceux des humains qui acceptaient leur règne, et un enfer pour tous les autres. Nos ancêtres virent cela, et l’inquiétude s’installa en eux.
Qu’arrive-t-il quand une meute n’arrive plus à chasser parce que son chef est trop faible ou trop lent ou trop aveugle pour la guider ? Ou le chef est remplacé, ou la meute meurt. La question était la même pour nos ancêtres, mais les enjeux étaient considérablement plus élevés, il s’agissait ni plus ni moins que de la survie du monde. Ce qu’il advint donc ensuite fut une chose horrible qu’il n’aurait jamais dû être faite…mais qui devait l’être.
Chaque esprit possède un interdit, une loi, incontournable, éternelle, qui gouverne sa nature. Un esprit de douleur ne peut soigner, un esprit-requin ne peut se reposer, et ainsi de suite. Père Loup était l’un des plus puissants esprits de la Création, mais même lui avait un interdit. Il était si dévoué à son devoir qu’il ne saurait prendre aucun repos tant que quelqu’un ne le remplacerait pas. La force de son interdit était si grande que si une telle créature se dressait devant lui, il ne pourrait se défendre.
Bien sûr, les plus aptes à lui succéder était ses enfants.
Les histoires de ce temps montrent que Père Loup pouvait utiliser ses forces contre ses enfants dans des combats ordinaires. Mais si ceux-ci voulaient vraiment lui porter un coup fatal, sa nature le laisserait sans défense. Il ne pourrait rien faire contre une telle agression, et ses muscles et sa chair ne lui seraient pas plus utiles que le vent ou la pluie. Ainsi, la seule manière de prendre la place de Père Loup était de le tuer.
Et nous l’avons tué.
Avec son dernier souffle, Père Loup poussa un hurlement qui résonna longuement dans les deux mondes. Les humains s’effondrèrent en pleurnichant sur le sol, la terreur emplissant leur âme. Les esprits coururent vers leurs refuges, éperdus de terreur à la pensée que quelque chose ait pu tuer le puissant esprit-loup. On dit que le loup-garou qui porta le coup fatal fut instantanément tué par la puissance et l’émotion dégagée par ce hurlement. En entendant le dernier cri de son amant, Mère Lune pleura de douleur et de rage, maudissant les enfants qu’elle avait mis au monde. Une malédiction qui, aujourd’hui encore, nous affecte.
Il est dit que l’âme de la planète elle-même en fut affectée. Alors que les habitants des deux mondes s’enfuyaient, terrorisés, les deux mondes furent séparés. La terre trembla, d’immenses tempêtes la secouèrent. La glace fondit au nord, des îles furent englouties, la terre changea. Pangée n’était plus. Après la chute, notre paradis disparut à jamais.
Voilà l’histoire de ce que nous sommes. Voilà pourquoi nous sommes mi-loups et mi-humains. C’est pour cela que nous sommes les enfants du Royaume de l’Ombre, et que nous sommes les Abandonnés de ce monde. Les esprits nous craignent, et la plupart nous haïssent depuis ce jour. Ils craignent et haïssent que des créatures mi-chair et mi-esprit les régentent, ils craignent et haïssent ceux qui ont détruit le seul esprit que tous craignaient. Les humains deviendraient fous s’ils savaient que nous n’étions pas des créatures de légende, mais que nous nous promenons librement parmi eux.
Nous avons détruit la chose qui nous tenait le plus à cœur, parce que cela devait être fait. Nous gardons le monde des esprits, et les esprits nous haïssent en retour. Nous faisons de notre mieux pour empêcher les hommes de blesser le monde des esprits, et, si les hommes le savaient, ils nous haïraient. Nos propres frères se sont retournés contre nous, nous haïssant pour ce que nous avons fait, alors qu’eux même manquaient du courage et de la compassion pour le faire. Aujourd’hui seule Mère Lune, toujours changeante, et seuls nos totems loups restent à nos côtés, mais c’est suffisant pour nous. Nous sommes le Peuple. Nous sommes les Uratha. Nous sommes ceux qui chassent dans les deux mondes.
Nous sommes les Abandonnés, et puissent les cieux avoir pitié de ceux qui attisent notre colère…
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arvandra

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeJeu 22 Jan - 14:12

enfin 2 backs de personnages qui permettent pour moi au MJ de travailler ensuite dans les scénarios, la plupart des mes joueurs n'envisagent pas autrement leurs personnages, ce qui explique sans doute qu'on joue souvent ensemble :

un med-fan :
Tout le monde aime les histoires de guerre, moi, je les déteste. Dès mon plus jeune âge, j’en ai entendu, assis avec ma sœur auprès de mon grand-père qui avait participé à la grande guerre contre le mal. Nous buvions littéralement les paroles du vieil homme qui avait combattu dans toutes les batailles. Tout n’était que fracas, actes héroïques et duels interminables. Après les récits, ma sœur et moi descendions dans les jardins du château et nous jouions à refaire les batailles. Mon grand-père étant le maître d’un comté, son fils se devait d’être un guerrier au service du grand roi, aussi ma sœur et moi ne connûmes quasiment pas celui-ci. Nous fûmes élevés par nos grands-parents, ma mère suivant mon père à la capitale pour assurer son rôle de représentation et tenir sa maison. Les parents de ma mère n’étaient pas d’aussi haute lignée que celle de mon père, mais leur maison, sur le bord de la mer, nous permettait d’échapper à la pression étouffante de la cour comtale et de nous retrouver au milieu d’enfants de notre âge. Puis, lorsque nous revenions chez mon grand-père maternel, revenait le temps des contes, très vite remplacé, dès mon huitième anniversaire, par un entraînement martial. Il faut croire que je n’étais pas aussi fort que dans mes combats enfantin car, dès le début, mon entraînement se solda par deux graves blessures, l’une aux jambes et l’autre aux poumons. Le résultat le plus visible fut que je passais près d’une année à me remettre de mes blessures et que mon grand-père reportait son attention sur ma sœur. Bien que mon aînée d’un an, ma sœur n’avait pas commencé l’entraînement avec moi, car elle était destinée à un tout autre rôle. Avec tristesse, nous nous étions éloignés avant mes accidents, avant qu’elle ne vienne passer à mon chevet presque toutes ses journées. Puis mon grand-père lui avait mis le grappin dessus. Elle commença à s’entraîner aux armes, et, à la grande surprise de tout le monde, s’y montra très douée. Elle s’y montra si douée que quelques mois plus tard, mon grand-père louait les services du plus grand maître d’armes pour lui donner des leçons. Dès lors, nous nous éloignâmes à nouveau et j’errais dans le château, en quête d’une occupation. Pour un enfant de dix ans, un château est rempli de recoins, d’occasions d’explorer et d’aventures. C’est en passant dans une salle des trophées passablement poussiéreuse (mon grand-père avait ramené tellement de choses de ses batailles, que certaines pourrissaient lentement dans de grandes salles où personne ne se rendait) que j’entendis pour la première fois le chant qui allait accompagner pendant le reste de mes jours. Le chant de la magie. J’aimerai dire que j’ai choisi ma voie, mais j’ai plutôt l’impression que c’est ma voie qui m’a choisi. C’était un petit objet, sans prétention, un fragment d’armure ouvragé, mais dès que je le vis, j’entendis un musique dans ma tête, et l’air me parut plus riche, les couleurs plus vives. Chose bizarre personne ne semblait avoir remarqué cette relique, insignifiante. Je m’empressais de la cacher sur moi et de l’emmener. La cachant dans un coin du jardin, je jouais avec tout seul, m’imaginant être un des héros des histoires de grand-père. Si l’un des mages de la cour n’était pas passé par là, je n’aurais jamais su que l’exaltation que je ressentais était dû à l’éveil de mon talent. Le mage m’emmena avec lui, à mon grand désespoir et à la grande tristesse de ma sœur, pour débuter mon entraînement. Dès lors ma vie se passa dans des lieux calmes et retirés, à l’ambiance vieillotte et peu adaptée à un jeune enfant. La seule chose qui me réconfortait étaient les lettres que ma sœur m’envoyait toutes les semaines. Les années passant, je suivis à distance les exploits de ma sœur, qui devint l’une des plus fines lames du comté, puis du royaume, et obtint une place de capitaine. Malgré les tourments qui s’annonçaient, je vis avec plaisir que ma sœur était joyeuse, et que sa vie de capitaine lui plaisait, elle adorait son rôle et le respect que lui témoignait ses hommes. Elle se sentait faite pour cette vie. Puis vint la guerre, et elle comme moi fûmes envoyés sur les champs de batailles. Ni elle ni moi ne savions ce qu’était véritablement la guerre, hormis par les récits de notre grand-père, et je dois dire que je fus passablement écoeuré par le spectacle. Mais le plus préoccupant pour moi fut l’arrêt des lettres de ma sœur. Après les premiers combats, je ne reçus plus de courrier, et l’inquiétude me tarauda. Ce ne fut qu’après la dernière bataille que j’eu à nouveau de ses nouvelles, et pas de la façon dont je l’aurais souhaité. Un officier vint me rapporter son carnet de cuir, sur lequel elle notait son journal. Après la bataille son corps n’avait pas été retrouvé, alors qu’elle avait, sur l’un des flancs de l’armée, couvert la retraite de nombreuses personnes avec quelques uns de ses hommes. Mort héroïque, donc, qui lui vaudrait de voir son nom inscrit sur le mur du mausolée de la victoire aux cotés de celui de mon père, tombé en protégeant son étendard. Incrédule, je m’accrochais à l’idée que ma sœur pouvait encore être vivante, son corps n’ayant pas été retrouvé. Mais mon espoir s’éteignit lorsque je commençais la lecture de son journal. Sa vie, ses pensées, s’y étalaient bien plus que dans les lettres qu’elle m’envoyait. J’y trouvais une fragilité que je ne lui connaissais pas, une tristesse et un dégoût de la guerre que ses premiers combats avaient encore renforcé. Si elle avait pris du plaisir, au début, à s’entraîner au métier des armes, faire la guerre ne lui avait procuré aucune joie. Elle souffrait lorsque ses hommes souffraient, pleurait avec eux, mais sans pouvoir leur montrer, et sans oser m’en parler. Les dernières pages me bouleversèrent, évoquant sa lassitude, ses doutes et ses craintes, la peur de ne pouvoir sortir de ce rôle de vierge guerrière qu’elle avait endossé depuis bien des années. La vie lui semblait vaine, éclaboussée de sang, et la prémonition qu’elle n’allait pas tarder à mourir la hantait. La mort lui semblait de plus en plus désirable. C’est en lisant ces mots qu’une idée se fit jour, une idée horrible, dérangeante, mais dont je ne pus plus me séparer. Et si quelqu’un l’avait influencé, et si ma sœur, d’une manière ou d’une autre était toujours en vie, quelque part, sous la domination d’un de ces êtres de ténèbres. Son corps n’avait pas été retrouvé, il se pouvait donc qu’elle soit…quelque part, simplement. Depuis ce jour, je la cherche sans relâche, mon cœur me soufflant un espoir que mon esprit refuse d’envisager.
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arvandra

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeJeu 22 Jan - 14:13

et un contemporain, pour Spycraft, un jeu d'espionnage :
Mon fils, si j’écris ces quelques lignes, c’est pour que, dans le futur, tu puisses juger les actions de ton père sans que ton jugement ne soit basé uniquement sur ce que les autres auront écrit sur moi. Tout à sans doute commencé avec ton grand-père, mon père, qu’évidemment tu n’as pas pu connaître, car il est mort bien avant ta naissance. Mon père était l’un de ces hommes d’honneur, tout d’une pièce, qu’on ne rencontre plus désormais. Il était soldat, officier, descendant d’une longue lignée de soldats qui avaient combattu pour la liberté et leur pays. Il était né pendant la guerre contre le nazisme, et il avait été élevé dans la pensée qu’une guerre juste existait. Ceci explique peut-être son engagement au Vietnam. C’est lors d’une de ses permissions au pays que je fus conçu. En tout, ton grand-père passa 6 tours au Vietnam, à la tête d’une compagnie, partageant les conditions de vie de ses hommes. C’est ce qui lui coûta d’ailleurs la vie quelques années plus tard, car il fut exposé à l’agent orange avec nombre de ses hommes. Malgré ses souffrances, malgré sa déchéance, jamais il ne se plaignit, ni ne renia les actes de son gouvernement, pensant qu’il y avait des choses plus importantes que la vie ou la santé d’un seul homme. A la maison, après sa mort, tout le monde en parlait comme d’un héros, d’un homme digne de respect, mais cela ne plaisait pas à ta grand-mère. Ma décision de m’engager dans l’armée avant la fin de mes études ne lui plut pas davantage, mais je lui dois de ne jamais m’avoir dénié le droit de faire mes propres choix. Aussi, après un début d’études prometteuses, je me retrouvais dans l’armée comme mon père, mon grand-père et mon arrière-grand-père avant lui. Très vite, je fus incorporé dans l’une de ces unités d’élite auxquelles mes capacités physiques me donnaient droit d’entrer, les Rangers. A l’époque, la fin des années 80, le monde était encore simple, et notre pays exerçait ce qu’il croyait être une tutelle juste sur les pays de l’Amérique Centrale. Pour combattre ce fléau qu’est la drogue, et pour soutenir les régimes que nous avions mis en place, des centaines de soldats de notre armée se retrouvaient à combattre dans une guerre qui ne voulait pas dire son nom. Idéaliste comme l’on peut l’être quand on a 21 ans, je me retrouvais donc à faire la guerre contre des pourris et des salauds en pensant que mon pays était un modèle de vertu. Ca n’a pas duré. Dès les premières semaines, on s’est rendu compte que ce que l’on nous demandait était des résultats, quels qu’en soient les moyens. Alors on a eu des résultats, de manière parfaitement illégale, bien sûr, mais de l’autre coté, ne faisaient-ils pas pareil ? La guerre a cela d’horrible qu’elle transforme les gens en monstres, et que la hiérarchie qui le sait bien, laisse faire, tant que ce n’est pas trop voyant. Opérations noires contre attaques terroriste, terreur contre répression, je suis tombé dans un cycle dont je ne pensais pas sortir. Du moins, jusqu’à ce que je rencontre Emily, une des secrétaires d’une grosse boîte américaine qui faisait son beurre au Nicaragua à l’époque. Elle a été comme un ballon d’oxygène pour moi, une bouée à laquelle me raccrocher alors que je commençais sérieusement à m’enfoncer dans le dégoût. On est sortis ensemble 6 mois avant qu’elle ne soit enlevée. Les personnes qui ont fait ça savaient à qui ils s’attaquaient, la preuve, ils m’ont fait parvenir des morceaux d’Emily, pour me montrer qu’ils ne plaisantaient pas. Mes copains et moi ont a alors franchi le pas. On a appliqué les méthodes des contras et des narcos pour se renseigner, et que Dieu me pardonne, ça a marché. On a retrouvé Emily, mais c’était trop tard pour elle. Par contre, nos méthodes avaient permis de libérer plusieurs autres otages américains. Dès lors, je fus contacté par des gens de l’Agence, oui, la CIA, qui me débaucha de l’armée pour continuer à servir mon pays. J’en étais venu à un point où seule ma colère et ma haine me faisaient vivre. La seule chose que j’avais pu récupérer d’Emily était le petit pendentif que je porte constamment, et qui contient une photo de nous deux. J’acceptais le marché avec le diable, et je commençais un travail qui devait s’avérer payant pour les otages américains en Amérique Centrale. Malheureusement pour moi, l’époque n’était pas encore prête à accepter ce que je faisais, et lorsqu’une commission sénatoriale enquêta sur les activités de l’agence, je fus remercié et renvoyé au pays. Je fus placé dans un bureau, sans espoir de revenir sur le terrain un jour, placé sur une voie de garage. C’est à cette période que j’épousais ta mère, ma petite amie de la fac et que je réalisai une partie du rêve américain, une maison en banlieue, deux voitures, et deux enfants. Cependant, la situation allait changer au lendemain du 9/11. Après un instant de stupeur, les agences de renseignement furent priées de changer leurs méthodes et de faire la guerre au terrorisme. Ce qui apparaissait comme une tache dans mon dossier devint une recommandation pour la nouvelle direction de l’Agence. Mes années de bureaucrate m’avaient fait réfléchir sur mes actions passées, et j’étais venu à penser que malgré son caractère extrême, la torture se justifiait d’un point de vue purement intellectuel. J’allais rencontrer nombre de personnes qui pensaient la même chose, voire pire encore. Dans un premier temps, je fus affecté à une équipe chargée d’interroger des personnes sur notre territoire, mais rapidement, ma connaissance du Moyen-Orient et de l’arabe, me fit envoyer sur le terrain, ou je coordonnai une équipe sur le terrain. Indépendante et totalement illégale, mon équipe devait utiliser toutes les mesures appropriées pour trouver des renseignements sur les terroristes. Après une phase initiale où nous menâmes des actions armées dans les bagages du corps expéditionnaire, nous fûmes reclassés dans un rôle moins guerrier. Chargés d’interroger quantité de personnes jugées dangereuses, tout se fissura pour moi quand je découvris que je devais interroger un ancien condisciple de la fac. Citoyen américain, bien que d’origine irakienne, cette personne n’avait rien à faire au Moyen-Orient, et un rapide examen me persuada qu’il ne savait rien de ce qui se passait et n’avait aucun rapport avec de quelconques terroristes. Malgré mes doutes, puis mes plaintes, rien ne fut fait pour mon ancien ami. C’est à ce moment-là que je doutais de la pureté de mon engagement. Une rapide enquête me permit de découvrir nombre de personnes sans lien direct avec les terroristes passées dans les cellules d’interrogation. A cette période, si tu t’en souviens, ta mère, ta sœur et toi m’aviez rejoint, et ce n’aurait pas pu être un pire moment. Miné par mes découvertes, je m’étais mis à boire plus que de raison, et ce qui devait arriver arriva. Ta mère supportait mal notre situation, au moins aussi mal que moi et elle se plaignait souvent de cet éloignement de notre pays. Un soir, alors que tu dormais, l’orage éclata : de paroles en paroles, le ton monta, et, sous l’influence de l’alcool, je frappai ta mère et la menaçai de mon arme. Un instant impardonnable, je fus pire que ceux que je pourchassai. Comble de malheur, ta sœur assista à la scène, et de la vient la peur et la haine qu’elle ressent encore à mon égard. Comment pourrais-je lui en vouloir, je me suis haï depuis ce jour et ce moment de faiblesse. Dès le lendemain, je pris conscience de mon erreur. Ta mère avait tissé d’étroites relations avec les femmes de notables présents sur place et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le divorce fut consommé avec tout les torts pour moi. Je n’ai rien à dire à ce sujet, peut-être aurais-je dû plus me battre pour vous, si ce n’est pour moi, mais je ne m’en sentais pas la force. Dans le même temps, survenait les scandales dans l’opinion publique à propos des moyens utilisés par nos services pour obtenir des renseignements, et l’Agence lâcha du lest. En l’occurrence, je fus ce lest. Malgré mes compétences, il fallait un fusible, et la mauvaise publicité d’un homme ayant des problèmes personnels faisait de ma personne le fusible idéal. Je fus donc renvoyé une fois de plus au pays, mais cette fois je dus trouver moi-même un employeur, chose que ne fut pas facile.
Voilà, tu sais à peu près tout ce que je voulais te dire. Maintenant, la question que tu m’a posé hier : « Qu’est-ce que tu fais comme travail ? », m’a vraiment fait réfléchir. Aujourd’hui encore je pense que mes actions se justifient par un raisonnement purement intellectuel. La guerre n’est finalement que le lieu de toutes les transgressions, le lieu où un homme n’est plus vraiment un homme et où tout peut se justifier, surtout si l’on a en face de soi quelqu’un qui ne respecte pas l’humanité. Pour certains crimes, la mort n’est pas une punition suffisante. Mais, au fond de moi, je sais que je ne pourrais jamais me justifier. Ce que j’ai fait n’est en rien excusable, en rien pardonnable, et moralement, j’en porterai le poids toute ma vie. Mais je crois, non j'espère que certains sont appelés à endosser les pêchés des autres. Pour son pays, pour sa famille, pour tout ceux qui ne veulent pas savoir ce qu’est une guerre…


PS ce sont des backgrounds, en aucun cas il ne faut y voir des opinions ou des situations réelles, c'est du jeu de rôle (je préfère prévenir ^^)
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Xtasy

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeJeu 22 Jan - 14:53

Hum... J'espère que t'as fait du copier/coller :p
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arvandra

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeJeu 22 Jan - 15:10

gagné !
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Gerylhyne

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeSam 24 Jan - 17:40

Mici
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vitae

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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitimeSam 24 Jan - 18:15

Merci arvie Wink
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MessageSujet: Re: pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long)   pub de jeu de rôle (attention réservé aux fans, c'est long) Icon_minitime

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